Thomas Doe
Social WorkerNulla totam rem metus nunc hendrerit ex voluptatum deleniti laboris, assumenda suspendisse, maecenas malesuada morbi a voluptate massa! Hendrerit, egestas.
Est-ce que votre enfant pose la question du « pourquoi » tout le temps ? Souhaitez-vous les aider à trouver des réponses aux questions importantes, mais ne savez pas comment vous y prendre ? Voici quelques questions pour encourager votre petit philosophe.
L’association Muna Kalati, soucieuse de la formation des tout-petits, s’est une fois de plus déployée sur le terrain. En effet, après la première phase du projet LIRE pour GUERIR à l’hôpital de District de Dschang, il était question d’implémenter la seconde phase auprès des déplacés internes dans la même ville. L’activité a eu lieu le samedi 30 janvier 2021 à 10h au camp des déplacés internes de la ville de Dschang, avec le mot de bienvenue de leur représentant qui a insisté sur l’absence criarde des infrastructures de prise en charge des réfugiés.
Qui est lecteur et qui ne l’est pas au Cameroun ? Quels sont les habitudes littéraires des jeunes camerounais ? Qu’aiment -ils lire ? Comment lisent-ils ? Pourquoi lisent-ils ? Où ? Avec qui ? Sur quoi ? Voilà autant de questions que l’on se pose en rapport avec le rapport des jeunes au livre et à la lecture au Cameroun. Mais il est surprenant de constater qu’il n’existe aucune étude nationale officielle apportant des réponses à ces questions, pourtant basiques pour l’élaboration de politiques publiques du livre efficaces. Dans cette analyse, nous explorons brièvement ces questions et déplorons le manque de réelle volonté politique des gouvernants dans la promotion du livre et de la lecture.
Les facteurs ou raisons, pour lesquelles l’intérêt pour la lecture est faible ou inexistant chez certains jeunes africains ou camerounais, varient. Ces facteurs peuvent être économiques, biologiques, politiques ou sociaux mais nous n’évoquerons que les grandes lignes transversales.
L’une des principales motivations à la lecture chez les enfants jeunes, est de voir leur entourage lire et en tirer manifestement plaisir. La famille a donc un rôle exemplaire à jouer, bien avant que l’Ecole ne prenne le relais. Or au Cameroun, le grand défi des parents, des enseignants et autres médiateurs de lecture, est de parvenir à inciter sans contraindre. Cet article vous présente quelques astuces pour y parvenir.
Tout cas de corruption quel que soit la personne, sera désormais puni dans ce pays (p.50).
C’est par cette sentence que les illustrateurs togolais Assem Koffivi et Alawoe Fabrice achèvent cette BD avec de belles illustrations riches en couleur, accompagné d’un scénario qui dresse l’image d’une société africaine où la corruption demeure une gangrène à l’économie.
Le livre a été édité par AGO Média, une équipe de jeunes écrivains et illustrateurs oeuvrant à la production et la diffusion des bandes dessinées et des films d’animation.
Le Cameroun regorge d’une bonne partie de sa population jeune, mais on observe une absence d’initiative de la part des élus locaux et des jeunes eux-mêmes pour se prendre en charge. L’une des raisons se trouve dans l’absence criarde de lecture. Je ne voterai que si dans le plan d’action que vous proposez à la population, des programmes pour promouvoir l’accès au livre et la lecture pour la jeunesse, occupe une place prépondérante.
La crise multiforme que traverse l’humanité de la civilisation postmoderne ne manque pas d’appauvrir le